Dimanche 14 janvier 2024 - Langkawi (8)

8 hres, lever, petit déjeuner…

Le chat est là, face à ma terrasse. Je lui fais les gros yeux, je pense qu’il commence à comprendre.

J'ai ensuite encore beaucoup travaillé sur Internet, sur mes notes, sur Hat Yai et Songkhla. Comme toujours cela m'a menée plus tard que je l'aurais voulu, il est midi et je veux.... aller à la plage...

Bon, j'y vais parce qu'après avoir quitté Langkawi, je vais attendre un bon bout de temps avant de refaire de la plage.

Je n'y reste pas trop longtemps, jusqu'à 13h30... Et je pars a la recherche d'un restaurant. 

Je mets le short maintenant pour sortir ! (c'est un short brésilien...).

 

Margot doit arriver tout à l'heure à Langkawi. Elle m'a envoyé un message whatsapp me disant que le ferry-boat avait déjà 30 mn de retard tellement il y avait du monde. (Ça prend du temps les queues d'immigration,,, ).

Je l'ai déjà faite cette liaison, avant elle, et je sais à peu près maintenant calculer à quelle heure on arrive à l'hôtel en fonction de l'heure de départ du ferry. Je calcule qu'elle n'arrivera pas avent 14h45/15hres à son hôtel.

Je décide d'aller chercher un restaurant dans son coin à elle, cela m'évitera de devoir me dépêcher quand elle m'appellera, sous un cagnard d'enfer.

Déjeuner

Je décide de déjeuner dans le restaurant qui fait le coin de son allée.

Comme ça ce sera plus rapide pour se retrouver.

 

Je n'ai pas cherché loin pour mon choix de plat, nasi goreng shrimps. "Nasi goreng" c'est l'équivalent du "Fried rice"Thaï en Malaisie. 

Mais déception, les quelques crevettes sont toutes pâteuses, et le riz sans goût au point due je vais demander une coupelle de piments, ce qui était servi automatiquement avec le plat en Thaïlande. Le piment donne un peu de goût. 

J'avais encore mangé des crevettes aussi mauvaises. Comme je regrette mon bon restaurant de Prachuap où je mangeais mon fried rice shrimps.

J'ai vu plusieurs taxis passer pendant que j'étais au restaurant, sans pouvoir voir dedans, vitres teintées... 

Et j'ai réalisé que Margot m'avait dit : "je t'appelle dès que je suis arrivée à ma Guesthouse", mais qu'elle n'aura plus ses données mobiles de sa carte sim thaïe dès qu'elle sera dans le ferry, encore moins en Malaisie, et qu'il faudra qu'elle se connecte avec les codes WiFi de l'hôtel, ce qui n'est pas la première chose que l'on arrive à faire quand on arrive dans un nouvel hôtel après un long transfert.

Alors je décide d'aller vers son hôtel, au bout de l'allée, il est 15 hres, et si elle n'était pas dans l'un de ces taxis, de l'attendre à la réception de son hôtel.

Cette allée,  est magnifique. 

Ça c'est un autre resort.

Retrouvailles avec Margot

 

 

Et qui vois-je à la réception de son hôtel ???...  Elle essayait en vain de prendre la connexion Wi-Fi de l'hôtel, et, ça ne fonctionne pas. 

Elle me montre sa chambre, son dortoir plutôt, deux lits et deux lits (superposés). Quand on entre dans la chambre, on voit deux jeunes sortir brusquement de leur lit, un gars en haut, une fille en bas qui semblait dormir derrière son rideau. Deux jeunes Chinois.

Nous partons résoudre tous ce qu'il faut résoudre quand on arrive dans un nouveau pays. Il lui faut absolument changer de l'argent  et trouver une carte SIM locale. 

Je lui montre quand même toute l'étendue de cette magnifique plage de Cenang et toute la blancheur du sable  qui fait qu'on bronze tellement vite.

On passe dans un bureau de change, juste avant mon hôtel, celui du Amzar. Je lui fais à mon tour visiter mon bungalow. Je lui montre la boutique duty-free, le supermarché près de mon hôtel. On passe à la boutique Hotlink où j'ai acheté ma carte sim... fermée... On se renseigne à la boutique voisine... "She has a rest"... C'est pour ça que c'est fermé... mais ça va ouvrir plus tard... En effet ça a ouvert... plus tard !

On deal pour un tour de l'île demain

On avait parlé d'essayer de louer les services d'un taxi pour faire un tour de l'île, ou une partie, car ni l'une ni l'autre ne conduisons une motobike !

Je m'étais renseignée hier auprès d'une agence et le prix étaient 180 RM pour 4 heures ou de 200 RM pour 8 heures. Margot trouvait que 4 heures c'était suffisant et j'étais d'accord. Sur le chemin on s'est renseigné auprès de quelques agences (il y en a tous les deux mètres ici le long de la rue...) et c'était les mêmes prix, jusqu'à ce que l'on nous conseille d'aller nous renseigner dans un vrai poste de taxis, il y en a un en descendant un peu la rue (en fait face à Hotlink).

Nous discutons avec l'un  des chauffeurs. Quatre heures ça nous suffit, 140 RM. On décide de partir à 9 hres, pick-up de chacune dans nos hôtels, et balade donc de 9 h à 13 hres. On a demandé à voir les plages du nord qu'on dit tellement belles, et puis si le chauffeur connaît des endroits à voir sur la route. Mais on ne veut ni  balade dans la mangrove, ni centre artisanat,  craft-art... ni enfin  toutes ces visites de groupes que toutes les agences proposent en excursion. 

On veut voir les plages, et se baigner, s'il n'y a pas de méduses, on nous a dit que dans les plages du nord, l'hôtel de luxe avait placé un filet... et qu'il n'y aurait pas de méduses, qu'on pourrait se baigner...

 

Marché  conclu, notre chauffeur de taxi s'appelle Djamel, un certain âge,  pas un jeunot,  il échange son n° de mobile avec le mien, il me dit de prendre une photo de sa voiture avec le numéro d'immatriculation.

Et lui, il nous prend toutes les deux en photo ! Eh oui c'est comme ça que ça marche maintennat, tout le monde se prend en photo ! Au moins on se retrouve.

Un coucher de soleil

Voilà beaucoup de choses de réglées, maintenant on peut se diriger vers la plage et aller voir le coucher du soleil. C'est vrai que depuis que je suis ici je je suis même pas allée voir le coucher du soleil tellement je n'y pensais pas et que le ciel apparaissait toujours nuageux.

Il y a beaucoup, beaucoup de monde de sur la plage qui est si longue venu assister au coucher fu soleil, qui, malgré les nuages est quand même magnifique.

On se quitte là, Margot commence à avoir le coup de barre et je la comprends, moi à chaque fois que je me fais un transfert entre deux villes, je suis KO.

En passant devant la réception de mon hôtel, j’ai payé une nuit de plus. Car demain on va faire une balade, je n’ai pas envie de partir illico le lendemain matin, j’ai donc prolongé et je partirai mercredi. Quand j’ai dit ça à mon voisin anglais il a un peu ri… "Vous prolongez et vous re-prolongez et vous re-prolongez !"…

Soirée dans ma chambre, il est déjà 20 hres... sandwich, avocat, citron vert, bière... et rédaction du blog.
Ça me mène à minuit, et réveil mis à 7 hres pour sonner de sa douce musique demain matin, par précaution.