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Ce blog est le récit, le carnet de route de mes voyages en Asie du Sud-Est. J'y relate mes impressions, mes rencontres, ma vie en voyage. Je ne prétends pas donner des conseils aux voyageurs, il y a pléthore de ces blogs-là sur le web. C'est mon journal de bord, j'observe, je note, je raconte. J'écris surtout pour ne pas oublier.

Envie de vous lire, aussi... Cela me fait tellement plaisir quand je voyage de recevoir des nouvelles ou un petit mot gentil. Et même une fois de retour, car ce blog représente beaucoup de travail. Me laisser des commentaires, c'est le moyen le plus facile pour moi de communiquer avec vous quand je suis en cours de voyage.

mercredi 18 mars 2015

Bilan de ce dernier voyage en Thaïlande

Pas terrible, mais....
Au niveau du voyage, j'ai été un peu moins heureuse que les autres fois, parce que je n'avais rien à découvrir en Thaïlande, j'y suis allée tellement de fois.

Je le savais avant de partir, mais c'est que la Thaïlande est mon refuge pour fuir l'hiver que je ne supporte pas à Paris. Rapport qualité / prix ! Tout le monde le sait.

J'ai fait trois visites au cours de ce voyage que je n'avais pas faites auparavant lors de tous mes voyages en Thaïlande, qui ont valu le coup que je fasse ce énième voyage en Thaïlande. Cherchez attentivement dans mon blog, et vous le découvrirez.

Je n'ai pas eu assez d'émerveillements. J'ai été un peu trop longtemps seule. Mais j'etais mieux là qu'à supporter le froid à Paris. Je suis revenue en grande forme physique et morale, et heureuse d'être à nouveau chez moi. Maintenant, deux mois de voyage, je crois que c'est trop long pour moi.

Les îles où j'ai sejouné

Je suis allée à Koh Lanta. Long Beach était une tres belle plage, trop envahie par les Suédois, trop envahie par les méduses, là  je n'ai pas eu de chance, mais il paraît que ce n'est pas exceptionnel qu'il y ait des méduses.

Je suis retournée à Koh Phan Gan. Je re-confirme que c'est une très jolie île. Où la variété des plages est intéressante. Mais sans moto, dans mon cas, on rate beaucoup d'endroits. Attention cependant c'est une île dangereuse pour la moto. Combien j'en ai vus des éclopés de la moto, rien que en quelques jours de séjour !

Koh Tao, je n'y étais pas encore allée. J'ai été contente de la connaître. C'est une très belle île, avec une côte Est toute rocheuse donc à éliminer, bien qu'il y ait des resorts... pour qui aime l'isolement.

Le choix de Chalok Baan Bay était bon. Belle crique, belle plage de sable, belle mer, bien bleue, mais pas de profondeur d'eau parfois. C'est courant dans cette région d'îles.

Je ne suis pas certaine que j'aurai envie de retourner à Koh Tao alors que je pourrais retourner à Koh Phan Gan, à cause de sa diversité.

Voyage en solo

Je n'ai trouvé personne pour partager ce voyage dans toute sa première partie. Alors même si j'ai rencontré quelques voyageurs, ou voyageuses, comme cela nous arrive à tous en cours de voyage, souvent très jeunes en solo aussi (je n'ai rencontré qu'une seule voyageuse de ma génération, elle était Canadienne anglaise voyageant seule), j'ai passé beaucoup, beaucoup de temps seule, et je me suis pas mal... emmerdée !

Dîner seule, j'en ai pris le rythme, l'habitude, mais je n'aime pas ! J'essaye de manger le plus rapidement possible, pour m'en aller vite, vite de cette situation pas agréable.

Je n'ai pas rencontré de gens parce que non plus, je n'avais pas d'excursions à faire vu que j'avais déjà tout vu, tout visité.

Un wifi très mauvais 

Vous savez que mon blog est l'un de mes passe-temps favoris, et surtout en live, en cours de voyage.

Mais le wifi, je ne l'ai pas eu souvent de façon correcte. A part à Bangkok, et à Krabi Town, où je l'avais dans ma chambre. Et encore il a été meilleur à Krabi qu'à Bangkok!

Par la suite, là où j'ai logé, dans la nature ou beaucoup dans les îles, je n'ai eu le wifi que dans les parties communes, restaurant, près de la réception, et très lent, et il cassait sans arrêt.

Donc je ne pouvais même pas m'occuper à alimenter mon blog, encore moins uploader des photos, cela prenait un de ces temps d'envoyer des photos sur mon blog, vous ne pouvez pas imaginer ! Et perdre le travail que j'avais fait et que j'étais en train  de publier, à cause d'un wifi qui lâchait à ce moment là, ça, j'ai trop connu !

Une chaleur trop forte

C'est la première fois que je suis partie en Thaïlande aussi tardivement, de fin janvier à mi mars. D'habitude je rentrais mi février.

Autant l'hiver dernier ai-je vécu une météo anormalement froide, une vague de froid étant descendue jusqu'au sud de la Thaïlande et dans les îles les plus au sud, et où j'ai même dû acheter des vêtements supplémentaires parce que je n'en avais pas assez pour le froid... autant cet hiver-ci a été très, très chaud.

J'ai souffert de la chaleur, oui moi qui, ceux qui me connaissent le savent bien, adore la chaleur et la supporte très bien, bien mieux que le froid.

J'ai eu pas mal de chambres avec seulement le ventilateur et pas d'air conditionné. Sans doute l'air con m'aurait reposé, fait récupérer, mais c'était question de budget. Il m'est arrivé de constater à mon thermomètre que j'avais 31 ° dans ma chambre avec un ventilo que j'avais laissé fonctionner toute la journée.

Le soucis du visa

J'ai décidé de mon voyage en Thaïlande sur les chapeaux de roue. Plus que marre de l'hiver, j'avais tenu jusqu'à fin décembre cette fois-ci. J'ai acheté mon billet le 30 décembre. Je ne n'avais aucune idée ce que j'allais faire en Asie, j'utilise Bangkok comme plaque tournante. Je ne voulais pas prendre un visa touriste de deux mois, car cela me prive de ma liberté sur place, si je sors j'en perds l'avantage. Et d'autant plus que l'ambassade à Paris était fermée jusqu'au 6 Janvier pour raison de.... vacances de Noël.

J'ai choisi un vol aller-retour dans une période de 58 jours de séjour. Il me faut donc faire de toute façon quelque chose au bout des 30 jours autorisés à l'arrivée en Thaïlande. J'avais choisi un peu moins de 60 jours, volontairement, ce qui me donne un battement élastique de deux jours.

L'an dernier je suis passée au Cambodge et j'ai du demander un visa touriste de 2 mois, pour re-rentrer en Thaïlande, alors que je n'avais pas besoin de 2 mois. Dans les 40 dollars de mémoire, via une agence. Cela m'a pris une semaine, même que j'avais choisi un visa express.

J'arrive donc à Bangkok avec juste le tampon "on arrival" qui m'autorise à rester 30 jours. Seulement, j'avais lu sur l'internet avant de partir, qu'une nouvelle mesure existait depuis août 2014. On pouvait demander une extension de 30 jours supplémentaires à ce "visa on arrival" en se rendant dans un bureau d'immigration en Thaïlande, et en payant 1900 bahts. Cela existait bien auparavant, mais on pouvait juste gagner 7 jours. Désormais, on pourrait prolonger son séjour de 30 jours sans avoir de visa touristique préalable, mais juste le tampon à l'arrivée à l'aéroport.

Habituée aux infos qui circulent en France, et qui ne sont pas appliquées une fois qu'on est en Thaïlande, cela nécessitait une vérification sur place. Et a entraîné une grosse angoisse chez moi : ça marchera ou ça ne marchera pas ? Si ça ne marche pas, je suis obligée de passer illico en Malaisie

J'ai donc décidé de faire cette opération à  Krabi, que je connaissais très bien, et où il y a un bureau d'immigration où je m'étais déjà rendue autrefois pour infos, et où l'accueil avait été sympathique.

C'est qu'on ne peut pas faire ce prolongement à n'importe quelle date, en arrivant  à Bangkok par exemple, parce que c'est la date où l'on demande l'extension qui est prise en compte.

Toujours aussi simple de voyager en liberté en Thailande !!!!

Je me suis donc dirigée trés vite vers Krabi, en avion pour faire  simple, et parce que Krabi c'est aussi l'accès à bon nombre d'îles. J'avais décidé de rester et de silloner dans cette région là jusqu'à la date fatidique des 30 jours.

Krabi - Je cherche les cordonnées de l'Immigration Office car j'ai appris en arrivant qu'au lieu d'être accessible à pied comme avant, en plein centre ville, il avait migré à... 5 km.... près de la pier vers Koh Lanta et Koh Phi Phi, à petpète, dans un lieu désert.

J'appelle la TAT (Office de Tourisme) de Krabi. Le premier n° qu'on me donne... erreur... c'est un fax ! Donc je rappelle la Tat. Ils ne peuvent même pas me donner une adresse, mais juste "c'est à côté de la pier pour Phi Phi".

Je téléphone, et là enfin j'arrive à joindre un monsieur aimable, parlant anglais, qui me confirme mes infos d'extension de visa possible... on l'obtient.... dans l'heure !

Il ne me reste plus qu'à faire quelques photocopies supplémentaires, la page du tampon d'arrivée en Thaïlande... et d'y aller entre le 16 et le 18.. en moto taxi...

Cela revient moins cher de payer 1900 bahts que de passer dans un pays limitrophe ! Payer le transfert, la demande de visa, ou un billet d'avion pour récupérer 30 jours.

Et je l'ai réussi mon extension de séjour !

En 5 minutes, j'ai obtenu à l'Immigration Office de Krabi, le papier, et le tampon sur mon passeport qui me permet de rester 30 jours de plus. Ça a été d'une facilité ! Bon, j'avais toutes les photocopies demandées, et la photo.

Le plus difficile a été de m'y rendre (moto taxi) car c'est excentré et isolé. J'ai du négocier ferme le prix du moto taxi. Mais j'ai réussi.

Je rappelle que je n'avais aucun visa pris en France, juste le tampon que l'on vous appose en arrivant a l'aéroport de Bangkok. Et ça coute 1900 bahts.
Pourvu que ça dure.

Le soucis de la baisse de l'euro

Ce voyage à été celui qui m'a coûté très cher.
A chaque fois que je changeais des euros, l'euro avait descendu d'un point.

- 35,30 bahts à l'aéroport
- 37,30 bahts à Bangkok
- 36,25 bahts à Bangkok
- 36,77 bahts à Krabi
- 34,78 bahts à Phan Gan
- 34,10 à Bangkok

Pour rappel, l'euro était à 44 bahts quand j'ai quitté la Thaïlande en février 2014.

On a tous été touché, nous les voyageurs en cours de voyage.

La plage

Mon amie Domy est venue me rejoindre sur les trois dernières semaines. Son but : la plage. Moi j'aime la plage, nager etc, mais là, ça a été un peu la sur-dose.  Je savais bien que Domy venait pour la plage. Je ne regrette pas, j'ai beaucoup aimé connaître ces lieux où je n'étais pas allée. Mais il me manquait un peu d'autres occupations que bronzer, nager, dîner, dormir. Et puis j'avais tellement pris de soleil... sans le vouloir... que je ne le supportais plus le soleil. Je me mettais à l'ombre tout le temps sur la plage, et malgré cela, je bronzais encore et encore, rien qu'en marchant, en étant sur un bateau, ou en nageant.

Il y a trop de monde !

D'accord j'étais dans la partie très touristique de la Thaïlande, sans doute la partie la plus touristique. Mais ce monde de touristes, je n'en pouvais plus.

Je ne me sentais plus en Thaïlande, j'etais au milieu des Suédois, des Allemands (surtout de Berlin), des Hollandais, beaucoup de jeunes Espagnols aussi, venus faire la fête, des "Européens" avec qui je n'avais aucun point commun et pas du tout d'affinités.

De plus en plus de familles "nombreuses", beaucoup de jeunes enfants, et des parents qui ne les contrôlent pas.

Ces gens sont trop bruyants, vivent comme s'il n'avaient pas de voisins, et j'ai besoin de calme, je ne supportais vraiment pas ce bruit.

Par contre, j'ai été surprise de croiser beaucoup moins de Russes que l'hiver dernier. Je n'étais pas non plus dans la même région de la Thaïlande. La partie entre Pattaya et Koh Chang (la grande), et tout le golfe de Thaïlande était l'hiver dernier envahi par les Russes. Côté mer d'Andaman, où j'étais cette fois-ci, ce sont les Nordiques qui envahissent.

Les Russes que j'ai rencontrés cette année étaient bien différents, plus jeunes, et très routards.

A la population touristique russe, s'est substituée une population d'Européens de l'Est, venant de toutes ces petites républiques récemment recréées, dont je n'arrive jamais à me souvenir des noms. En plus des Polonais, et des Tchèques, j'ai fait connaissance de gens de l'Est dont je n'aurais jamais dans ma vie croisé le chemin.

Je me suis sentie revivre... dans les villes ! Là où je retrouvais les Thaïs, non liés au tourisme.

Une immigration massive de Birmans

Quelle a été ma surprise de découvrir que de nombreuses guesthouses où j'ai séjourné étaient gérées par des Birmans ou avaient du personnel birman, de même que dans les restaurants ou les boutiques. J'ai noté cela beaucoup à Koh Phan Gan, et dans les boutiques à ao Nang et à Bangkok.

La Thaïlande  n'est plus le pays du sourire 

Je ne suis pas la seule à l'avoir dit, lors de mes rencontres  avec d'autres voyageurs. Je ne dis pas que tous les Thaïs ne sont plus sympa, accueillants, mais j'ai trouvé que cela avait beaucoup  changé.

Quant aux Thaïs qui ont affaire au touristes, agences... personnel complètement incompétent, ce ne sont que des vendeurs. Quant aux chauffeurs de minivans, ils ont tous sans exception été très désagréables, les managers des resorts, du bon et de l'affreux.

Un seul mot règne en Thaïlande désormais... l'argent des touristes.

Je ne suis pas du tout sûre que je retournerai encore en Thailande une fois prochaine. J'en ai eu vraiment  marre cette fois-ci.

mardi 17 mars 2015

Mardi 17 Mars 2015 - De Bangkok à Paris

Vol Bangkok - Amman, minable

Plein, venant de Malaisie, boeing 787, un vieux truc, pas de place pour les jambes devant les sièges, bouffe très mauvaise, staff nul, même pas possible d'avoir de l'eau, tout est restreint à l'économie.

Le seul point positif de ce vol c'est ses horaires. Parti à 0h30, décollé à 1 hres du mat, service de dîner à 2 hres du mat... et 9hres 45 au total de vol entre Bangkok et Amman, ça permet de dormir. 

L'avion était déjà rempli de passagers, dont beaucoup dormaient. Il vient de Kuala Lumpur. Time share avec Malaysian Airlines.

Déjà, il y avais un mec assis à ma place, mon hublot ! C'est que l'avion venait de Kuala Lumpur. Je lui montre ma carte d'embarquement avec le numéro de mon siège. Il se déplace. Je lui demande de mettre mon petit sac à dos en haut. Et je lui demande "what langage, you ?" Je pensais qu'il était malaisien ou indonésien, et heureusement que je ne lui ai pas dit "salamat datang" car il me répond "english"... Je lui dis "Thank you". Mais aussitôt il me dit "and arabic" ! Je lui réponds "Choukran  !". Ah je ne l'ai pas du tout situé ce gars. À sa droite se trouvait une femme voilée. Il y en avait de nombreuses à bord.

Bon, il n'a pas été très sympa.  Il m'a envahi de son bras sur mon accoudoir, et je n'avais que très peu d'espace sur mon siège.

2 hres du mat. On nous sert le dîner ! Le dîner à été infecte. Au choix, de la viande, du poulet, ou des crevettes... je prends les crevettes. Dégueulasse. Des mini crevettes surgelées exactement comme celles que je trouve chez Picard et qui sont meilleures. Et aucune préparation. Du riz blanc et les mini crevettes  posées au dessus. Il n'y a que le gâteau au chocolat qui était acceptable.

Je prends un somnifère, et je m'endors vite. J ai dormi un peu plus de 6 hres quand on nous a "réveillés" pour un petit déjeuner, mini, jus d'orange, fruits, pain fromage fondu et un mini café.

Le vol a duré 9 hres 45 entre Bangkok et Amman. On est arrivé  à 5 hres 15.




Coucou de l'aéroport d'Amman

J'ai du dormir 6 hres et des poussières, pas mal ! Donc je suis pas trop mal. 
Connexion pour Paris dans moins de 2 hres, et 5 hres de vol.



NB : 2 degrés de température à l'aéroport, il fait à peine 6 ° à Amman, maintenant. J'ai apprécié d'avoir mon anorak. Même pendant la nuit dans l'avion. 
Après le passage à la sécurité  des bagages, les femmes dans une file, les hommes dans une autre... je monte au salles d'embarquement. Le trajet n'est pas long, l'aéroport  n'est pas très grand.




Zen !

Je demande si il y a le wifi. Le gars me dit "Zen" ! Je ne comprends pas. Il me dit d'aller voir le chef qui est au fond de ce hall. Je repose ma question au chef. "Zen", à nouveau.. J'ai compris ensuite... Le fournisseur d'accès wifi s'appelle Zain, Zain Jordan.

http://www.jo.zain.com/english/consumer/pages/default.aspx

Et on n'a pas besoin de pass word,  c'est un accès ouvert.



Je m'assieds dans la salle d'embarquement. En effet le wifi fonctionne.




Je discute avec un Français que j'avais rencontré en attendant dans la salle d'embarquement de Bangkok. Lui vend son miel en Thailande, si j'ai bien compris. Il m'a l'air retraité. Il me dit qu'il ne peut pas se passer de travailler, et que sa vente de miel l'occupe. Il séjourné à Hua Hin... ce qui ne me le rend pas très sympathique à mes yeux. Je ne recherche pas là même Thailande !
On embarque à l'heure, à 7 hres.


Vol Amman - Paris

Le vol est aussi plein quand j'y arrive. J'ai une place hublot, 13 A, et là encore un mec est installé à ma place ! Je fais venir l'hôtesse qui lui demande de déménager.

Je fais lever les deux mecs qui étaient déjà installés sur ma rangée de côté. Un barbu du genre intégriste, et au siège du milieu, un grand et gros noir, qui s'est avéré être très sympa. Né en Allemagne, de parents germano-camerounais, on a beaucoup discuté ensemble.

Les rangements sont pleins. Je garde mon petit sac à dos sous les jambes. Bon, je me dis, ce n'est que 5 hres de vol...

Un airbus 319 pour des vols de 5 hres quand même, c'est pas du tout confortable, c'est très vieillot, très étroit. Et aussi très... lent... Ces vieux avions ont une vitesse bien lente, ce qui rallonge la durée du voyage.

L'avion est rempli de femmes voilées, bon, Jordanie... mais quand je suis allée en Jordanie, moi, il y a une dizaine d'années, les femmes portaient un foulard pas ce voile là !

On devait être une dizaine ou douzaine de Français dans cet avion, je veux dire de Français pas musulmans. Pas plus.

Mais le nombre de...  comment dire ces mecs comme mon voisin n°2, au crâne rasé, portant un petit chapeau rond blanc, une robe, et surtout la barbe... vous savez la barbe de ceux qu'on voit à la TV française, qu on appelle les... intégristes.

Mon voisin, enfin pas celui avec qui j'ai parlé tout le temps qui était un français allemand très sympa, mais l'autre, celui en 3 ème siège, il était de ce type là. Il ne nous a pas adressé la parole. Mon voisin sympa m'a dit qu'il avait vu qu'il avait sorti un passeport français.

Moi j'étais proche de lui à l'arrivée à Paris à la présentation des passeports. Eh bien il est passé comme une lettre à la poste, à toute vitesse, aussi vite que moi.

Je l'ai vu ensuite se regrouper, à la collecte des bagages, avec tout un groupe de mecs comme lui, "déguisés" de la même façon, et là, je l'ai vu alors souriant, rigolant avec eux. Ils étaient je ne sais pas combien de barbus en robe longue, et ils ont des passeports français.

Moi, ces gens là je n'en avais vu qu'à la TV, ça m'a fait très bizarre. Comment dire, ça met mal à l'aise.

La bouffe à été TRÈS mauvaise sur le Bangkok - Amman, et par contre BONNE sur le Amman - Paris. Un petit dej très bon, j'ai pris omelette avec pommes de terre, et pain croissant... il y avait le choix entre pommes de terre ou saucisses.

Bon, Royal Jordanian, il y a aussi à faire du travail au niveau de l'équipage, pas très aimables, pas très dispos, pas souriants. Et des uniformes, d'un autre âge.


Paris - Charles de Gaulle Airport

On atterrit à l heure, 11hres. 12° à l'aéroport d'annoncés à 11hres ce matin. Il est 11hres 20 quand l'avion arrive à être au parking et qu'on puisse sortir de l'avion. 

J'arrive très vite au hall de collecte des bagages. Ça commence à avancer, mais je vois bien que ce sont les bagages de ceux qui ont embarqué à Amman, pas les nôtres.  Et puis voilà que le tapis roulant s'arrête. On entend ensuite une annonce nous disant qu'il y a un problème technique sur notre tapis roulant. Et dire qu'on est dans le plus grand aéroport de Paris, pas à Bangkok  !

Le tapis à ré-avancé après un arrêt de bien 20 mn. Mon sac est arrivé. Je me dirige vers le bus d'Air France qui va me mener à l'Etoile. Il y en a un inscrit pour 12h 19. Ce qui veut dire que je viens d'en louper un ! Mais là encore, retard, retard. Il est arrivé à 12h35.

Après il a roulé vite jusqu'à l'Etoile. Pas d'embouteillages, mais des panneaux de ralentissement  pour cause de pollution, c'était écrit.








J'arrive à 13 hres et quelque bd Carnot.  La chance, il  y a plusieurs taxis de garés à la station juste en face, ce qui n'a pas été le cas lors de mes voyages précédents. J'ai décidé de prendre un taxi parce que je suis trop fatiguée et surtout que mon sac, rempli de mes achats à Bangkok est bien trop lourd pour prendre tous les escaliers du métro que j'ai à me taper.

Je prends le premier taxi dans la ligne. C'est est un Africain qui le conduit. Et il a roulé à une vitesse d'escargot. Ça m'énervait ! On aurait dit qu'il faisait ses premiers pas en conduite ! C'est moi qui l'ai guidé. J'en ai eu pour 8,5 euros, j'ai donné 10.

Enfin chez moi !

Il est 13h30, j'ai mis deux heures et demie après l'atterrissage pour arriver jusqu'à chez moi, jamais ça n'a été si long, sauf l'hiver dernier quand il y avait la grève des taxis qui bloquait la route vers Paris.

Je pose mes affaires et je vais aussitôt acheter à manger. Oui malgré tous les repas que j'ai fait en vol, je crève la dalle. Evidemment sur quoi je me jette ? Une baguette, du beurre et du camembert. 

Il fait très beau sur Paris. Très vite la température monte à 16° voir du 20° sur mon balcon. Une chaleur douce, douce, pas tropicale... vous comprenez la différence ! C'est très agréable  Super beau temps à Paris. C'est le printemps je crois. 

Je suis super fatiguée par mon voyage de retour. La première partie les 9 hres 45, ça a été très bien, j'ai pris un somnifère et j'ai dormi un peu plus que 6 hres. Mais la 2 ème partie a été très dure, j'ai pas redormi, et c'était long, mais long...  5 hres, et j'ai pourtant discuté avec mon voisin pendant bien les deux premières heures.

lundi 16 mars 2015

Lundi 16 Mars 2015 - Dernier jour à Bangkok (3) Départ de Bangkok

J'ai payé une nuit supplémentaire pour garder ma chambre toute la journée. C'est sûr je n'y dormirai pas, j'aurais bien aimé, mais... Je dormirai dans l'avion...

J'ai fait comme tous les matins, petit dej (réveillée aussi tôt que d'habitude) puis rangement un peu des affaires pour mon départ, puis tablette. Aujourd'hui je ne planifie pas de marcher, je n'ai plus qu'assez de la chaleur, et je ne veux pas me fatiguer pour voyager ce soir. 

Je décide d'aller prendre un vrai gros déjeuner, vers midi, car ce soir je ne sais pas si je vais dîner vu que je prends l'avion. Je vais au Four Sons et commande un  sweet and sour shrimp, 80 bahts, avec du riz 15 bahts. Ah oui on est loin des prix des îles ! C'était bon.






Puis je vais à mon "Institut de beauté", la boutique rose dans la Rambuttri avant le Rambuttri village. Son enseigne n'est plus rose, elle est devenue verte... mais je reconnais par coeur la disposition de l'intérieur.

Les prix ont augmenté, 450 bahts le facial treament, mais parce que je présente le dépliant eu en janvier, elle accepte de me faire le prix que j'avais 400 bahts. Je fais aussi un scrub des talons et des pieds. Faut voir comment une Thaïe prononcé le mot scrub.... "secreube". 

Tout ça se passe bien. 

Puis je rentre à ma chambre. Il fait trop chaud dehors. J'abandonne l'idee du massage, pas vraiment besoin.

J'achète un nouveau bagage !

J'organise encore ma valisette. J'ai acheté des trucs, à Bangkok pour la maison, bien sûr. 

Et puis l'idée me vient d aller acheter un nouveau bagage de voyage, car ma valise, depuis tous ces voyages, elle est dans un état ! Les roues sans cachoutchou, la poignée ne se baisse plus, le tissus de la valise est bien déchiré. 

Je zieute un sac à dos / sac à roulettes. J'en trouve un Love Alpine à 1500 bahts. Un bon prix je pense, en regardant sur l'internet combien ça coûte... ça fait un peu moins de 40 euros.  Bon l'euro est tombé à... 34,10 bahts !

Bon je range mes affaires dans ce sac, y compris ma vieille valisette dedans, car je veux l'utiliser jusqu'à son dernier souffle, et la ramener. Tout cela rentre. Mais c'est un gros foutoir pour ranger. Pas aussi pratique que ma valise.



Je me prépare et le temps passe très très vite. Je ne suis pas sortie dîner, je n'avais pas faim du tout. J'ai terminé quelques gâteaux. Et je sais que je vais avoir un dîner à minuit et demi, enfin 1 hre du mat...



Je suis à 20h30 en bas, ai fermé ma chambre,  je check out.

Et j'attends le minibus. Le minibus acheté à l'agence qui se trouve face à la réception de l'hôtel.

Le minibus n'arrive pas

Et j'attends... je sais que dans ce genre de transport, ils pickent up chacun et font le tour des guesthouses, mais la fille de l'agence m'avait dit que si le mini van n'était pas là au bout de 10 minutes passées, que je l'appelle, et elle a inscrit son n° de mobile.

Mon minivan prévu pour 21 hes. Parfait pour arriver dans les temps calmement pour mon vol.

À 21 h 10, toujours pas là..

J'appelle la fille. Elle me dit "I call the company". La communication casse. J'essaye de la rappeler. Ça ne marche pas. Je demande au gars de la réception  qui est très gentil et très efficace de l'appeler. Il n'y arrive pas non plus de son portable.

Il est 21h30. Je panique. Là, je ne suis plus dans les temps. Je demande son avis au gars de la réception. Il me dit que le New Siam n'a rien à voir avec l'agence, que l'agence loue juste l'emplacement, et que l'hôtel, lui, n a aucune responsabilité dans ce qui y est vendu.

Je lui dis que je vais prendre un taxi. Il me dit que ce n'est pas sûr que j'en trouve un. Je le supplie de m'aider. Il m'en trouve un devant l'entrée, et il me dit que c'est 500 bahts. Pas de taxi meter, prix fixé, tout inclus, express way etc. C'est le prix que j'ai payé à mon arrivée, donc je n'ai rien à y redire.

Donc voilà, j'ai payé 150 bahts pour un minivan que je n'ai pas pris, et je paye 500 bahts pour un  taxi. Mais bon, on  fait des erreurs !

Le chauffeur, un jeune, moderne, est très sympa et parle anglais. Il me dit tout le mal qu'il pense des minivans, et il me dit qu'il va aller très vite, que je serai à l'aéroport dans les 45/50 mn, ce que je crois parce que l'an dernier, à la nuit, j'y suis arrivée dans ce temps là. Ah ! Quand il n'y a pas de trafic jam à Bangkok!

On a mis... 35 minutes !!!! Il allait à une vitesse ! Je lui disais "dont make me an accident!!"

Aéroport de Suvarnabhumi

Il n'y avait aucune queue aux comptoirs de Royal Jordanian. Comptoir Q.



J'ai fait le check-in à une vitesse. 20,3 kgs ! Oui mais avec dans mon nouveau sac, dedans, ma valisette qui doit bien faire 2 kgs ou plus, vide. Je veux la ramener, je l'utiliserai jusqu'à son dernier souffle de vie.


Je me suis dirigée vers le premier étage pour la police, et tout ça à été très vite,  il n'y avait pas de queue.


J'ai été étonnée de ne pas passer dans le grand hall où se trouve cette magnifique sculpture de la vie de Rama en plein milieu. Peut être parce que ma porte d'embarquement, D 7, était tout au début,  je n'ai pas eu à marcher beaucoup comme les autres années quand je prenais Etihad.








dimanche 15 mars 2015

Dimanche 15 Mars 2015 - Bangkok (2) Avant dernier jour : Sam Sen, Wat Bowon Nivet, Thanon Lamphu

Cool.... J'ai super bien dormi, ai éteint la clim très vite pour m'endormir. J'ai dormi jusqu'à 2 hres puis à nouveau jusqu'à 6 hres 19, pour ne pas changer.
Je suis réglée sur le lever du jour thai.














J'ai payé une nuit de plus au New Siam, car demain, je m'en vais prendre mon vol, mais je ne vais pas partir avant 21 hres, et je ne veux pas avoir à glander toute la journée à la chaleur des rues de Khao San... Même le hall de l'hôtel en bas, il y fait chaud, il n y a ni clim, ni ventilos, et en plus c'est très bruyant. Je veux donc avoir ma chambre encore et rester à la clim... faire mon blog, rattraper mon retard d'écriture, de chargement de photos...

J'ai réglé l'administratif de mon départ... J'ai décidé d'acheter mon transfert aéroport à l'agence de l'hôtel,  bien que je ne l'aime pas, la fille, très très désagréable, et c'est plus cher qu'ailleurs dans les rues voisines. 150 bahts au lieu de 120 bahts.  Mais c'est une question de confort de départ. Là, je vais attendre dans ma chambre au frais jusqu'au dernier moment, et je ne descendrai que 10 mn avant mon minivan. Je n'aurai pas non plus à traîner ma valise (et au retour, elle va être... lourde !) dans la rue envahie de monde.

Je suis repartie faire la suite de mes courses. D'abord je dois trouver à réparer le bracelet de ma montre, décollé depuis belle lurette. on m'avait dit d'aller juste après la banque Krungskrit jaune du coin de la Rambuttri. J'ai eu du mal à trouver, je ne l'avais pas vu le mec, installé sur le trottoir, juste après la banque. Il répare les montres, mais il veut que je rachète un nouveau bracelet. 400 bahts, trop cher je trouve. Et ils ne me plaisent pas ses bracelets. Il ne veut pas me recoller le mien. Je pars.

J'ai fini par trouver un vendeur de montres en boutique tout au bout de la rue, juste avant le pont. Là, j'ai trouvé un bracelet  à 200 bahts, en cuir,  plus solide que le mien. Et dans la foulée j'ai acheté un petit réveil Casio, à 550 bahts que j'ai obtenu à 500 bahts, moitié prix de ce que j'ai payé à Paris avant de partir.

Le quartier Sam Sen

Je voulais racheter un thermo plongeur, celui petit, que je ne trouve plus à Paris. J'ai voulu retrouver ma droguerie où je l'avais achetée, de l'autre côté du pont dans la Samsen Road.

J'ai donc traversé par le pont qui fait suite au fort Phra Sumen. J'ai retrouvé ma droguerie tenue par un vieux couple de Chinois. J'ai racheté une résistance à 250 bahts, et puis aussi une petite bouilloire électrique à 250 bahts. J'ai obtenu une ristourne de 30 bahts sur l'ensemble ! Dérisoire,  j'en conviens.

Et je me suis promenée au hasard, à nouveau car je l'avais fait quand je suis arrivée en janvier, dans le quartier de Sam Sen,  un havre de paix, plus authentique, dans Bangkok. Simplement... de l'autre côté du pont... Il y a de nombreuses guesthouses, mais elles m'ont semblé assez minables, c'est pour backpackers pas difficiles.  Il y a aussi plusieurs hostels.






































Le long du Lamphu Canal

Je me suis retrouvée au bord d'un canal, entrecoupé de jolis petits ponts et bordé de restaurants. Je sais que je suis déjà venue ici dans un séjour passé. Mais je ne sais pas trop comment j'y arrive. Maintenant je sais qu'il s'appelle le Lamphu Canal, il est parallèle à la Phra Sumen road.






























Le Bowon Niwet Vihara

J'y suis déjà allée, mais j'y retourne. J'étais déjà rentrée dans ce temple quand je suis arrivée à Bangkok fin janvier. C'est un temple très important, un centre administratif et d'enseignement du bouddhisme. Il date du début du 19 ème siècle.



Il est très grand et il donne sur l'avenue Phra Sumen Road. C'est là aussi que j'y ai vu la quête des moines quand je suis passée à 6 hres du matin dans mon tuk tuk pris la gare des trains, en arrivant cette fois-ci.




Il est demandé de porter des vêtement qui couvrent les genoux et les épaules.




Le Bouddha est assez étonnant. Les deux bouddhas, plutôt. Il y a un gros bouddha en bronze noir qui date de l'époque de Sukhotai (Sous Rama III), il y a 650 ans. Il rappelle celui  du Wat Kalayanamit. Et en dessous, un jeune bouddha doré. 









His Holiness Somdet Phra Nyanasamvara
Le patriarche suprême de la Thaïlande 

Un Thaï du temple me dit que dans cette bâtisse orange se trouve... une relique de ce fameux moine, le roi des moines... le Patriarche de Thaïlande, dont les marques du décès étaient partout lorsque je suis arrivée l'hiver dernier en décembre 2013. Tous les temples alors arboraient les couleurs blanc et noir du deuil, et il y avait sa photo partout en Thaïlande.

Il est mort à plus de 100 ans, le 24 octobre 2013, trois semaines après son 100 ème anniversaire. Il était le Patriarche Suprême de la Thaïlande (Suvaddhana Mahathera) depuis 1989.

La preuve de son importance : un an après, les gens continuent à lui rendre hommage.





Son nom de naissance est Charoen Gajavatra. Il est né dans la province de Kanchanaburi, le 3 octobre 1913.

Il a été ordonné novice à l'âge de 14 ans au Wat Devasangharam à Kanchanaburi. 

Puis il entre au monastère royal du Wat Bovoranives Vihara en 1929. C'est ce temple même, ici, où je suis.

Il y étudie le Dhamma et le Pali (l'ensemble des normes et des lois sociales, politiques, familiales, personnelles, naturelles et cosmiques) jusqu'à ce qu'il soit suffisamment âgé pour entrer dans la vie monastique.

L'abbé du monastère était alors H.H. Somdet Phra Vajiranyanvangsa, 13 ème Suprême Patriarche de Thaïlande. C'est lui qui l'ordonna moine le 15 Février 1933.

Il avait 20 ans. Il y est resté jusqu'à sa mort, il venait d'avoir 100 ans.

Il était devenu le 19 ème Suprême Patriarche de Thaïlande le 21 avril 1989.

On l'appelle depuis ce jour "His Holiness" Somdet Phra Nyanasamvara.

Surnommé par sa simplicité, et sa compassion, le "moine du peuple".



Et le livre "The Sangharaja, Man, Monk, and Monarch" qui m'a été si gentillement offert dans ce temple.


Voila pourquoi il est autant vénéré dans ce temple-ci, le Wat Bowon Nivet Prasat.

Le sanctuaire

Pour entrer dans cette bâtisse, (il n'y avait que moi occidentale qui était intéressée pour y entrer...) on m'a demandé non seulement de couvrir mes épaules avec mon châle, c'est normal pour le Bouddha aussi j'ai du couvrir mes épaules. Mes genoux étant couverts par mon pantacourt, c'était ok.

Par contre on m'a demandé aussi, et ça je ne le savais pas, de tenir mes deux sacs, mon petit sac noir en bandoulière et mon sac à dos vert de journée... à la main, et pas à l'épaule, encore moins sur le dos... c'est en signe de respect. Ça vraiment je ne savais vraiment pas que la tenue du sac...  à la main.. avait une signification.



J'ai été  très  touchée qu'on me laisse entrer.
A la sortie un jeune moine assis à une table m'a offert une brochure avec le texte en anglais qui raconte la vie de ce moine devenu le patriarche de Thaïlande, et pleine de photos du moine, avec le roi, avec des personnalités. Gratuit. Je vais le lire au retour. 



J'ai ensuite refait une fois de plus le tour du lieu.
On peut voir ce chedi doré de très loin.







Une statue du roi Mongkut se trouve à la base du chedi.






Un prang de style Khmer, un fragment en latérite provenant probablement d'un ancien temple contenant des pièces de monnaie jetées par les visiteurs. Des céramiques de style chinois représentant des animaux, des fleurs et des dragons, ponctuent le haut des toits.










Aux quatre coins, les représentations du dieu hindou Brahma.


















Voilà où je me trouve.









Thanon Lamphu

De l'autre côté du fort Phra Sumen... Je me dirige vers le fort Phra Sumen, et je découvre qu'il y a un chemin juste avant, qui mène à un pont. Je ne suis jamais allée par là.  Je décide d'explorer.



Je tombe sur un temple avec des musiciens qui jouent assis à terre, mais je me rends compte qu'il y a un enterrement,  les gens sont habillés de blanc et noir, et il y a une voiture noire. Je n'entre pas. 
J'avance, c'est très bucolique par là, mais il y a plusieurs canaux qui donnent une odeur d'humidité désagréable.


















Je tombe sur des guesthouses, j'entre demander les prix. Ce n'est pas meilleur marché que dans mon quartier.  Et c'est quand même plus loin et trop isolé à mon goût.





















Je repars vers le côté opposé de la Thanon Lamphu.
















































Coucher de soleil au parc du Fort Phra Sumen

Je suis rentrée vite, me doucher, et je suis ressortie vite pour arriver à revoir le coucher de soleil, car demain je serai à faire à me préparer pour mon départ.



De jolis massifs de fleurs, roses, cette  fois-ci, décorent  le parc.






















Je suis étonnée de voir que le soleil se couche derrière les grandes tours, alors qu'en janvier il était plus à gauche et on le voyait d'avantage plonger dans la rivière. Là, rien de rien, il se couche derrière les tours.

VIDÉO






La gym aérobic à commencé, juste après que tout le monde se soit levé pour l'hymne national.

VIDÉO




Domy m'a rejointe et on est allé dîner..

Dîner au Number One

Un red curry shrimp.Excellent. Très Spicy mais excellent. 80 bahts + 10 bahts de riz (Eh oui ça change des prix des îles. .! ), et une small Singha à 50.