Mercredi 20 Décembre - Prachuap (4)

Sawadee ka, je me lève

Beaucoup de progrès, je dors bien  sans clim, juste que je laisse une fenêtre ouverte,pour avoir l'air, la nuit. Je suis réveillée vers 6 h par le jour, je saisis mon masque, et je rendors. Je me réveille à 8 hres. 

Pour qui me connaît et connaît mes horaires de vie, c'est fort.

Bonjour !

Petit déjeuner

OK, j'émerge... petite photo...

La journée commence...

Préparation : comment partir de Prachuap ?

Oui, je suis à peine arrivée que je commence par travailler sur la suite de mon voyage. Ce n’est pas tout de suite, j’ai encore 12 jours de farniente ici à Prachuap pour souffler, mais il faut que je m’en occupe.

Comment je pars de Prachuap… Suite aux discussions avec les jeunes de la réception l’autre jour, j’en avais conclu que le meilleur moyen de rejoindre Surat Thani serait le big bus à prendre sur la highway, bien loin de la ville de Prachuap. Mais il faut que j’arrive à avoir les horaires que personne n’a ici. Je pensais aller me renseigner auprès l’Office du tourisme près de la jetée, cet office qui était toujours fermé l’année où j’étais venue ici.

Je fais quand même des recherches sur Internet, et qu’est ce que je découvre, via des sites, c’est que le train dont j’avais parlé aux filles, qui part à 11h 40 de Prachuap, et qu'elles ne connaissaient pas, il  existe bien, seulement il ne figure pas sur la fiche horaire des trains de Thaïlande où le seul train de jour indiqué montrait un départ à une autre heure, mais surtout une arrivée à Surat Thani à 18 hres, à la nuit tombe, et là à Surat Thani, la gare se trouve à 15 km de la ville, il faut prendre un bus qui part toutes 30 mn, qui met je ne sais plus combien de temps pour relier la gare de trains à la ville, ensuite prendre un tub-tuk… Si je prends cette option j’arrive à la nuit ! Je ne veux pas arriver à la nuit dans une ville que je ne connais pas par cœur. Donc j’avais choisi le big bus. Mais à quelle heure part-il, et combien d’heures met-il, cela m’est complètement inconnu.

C’est ce fameux train que j’appelais “de luxe”, que j’ai pris plusieurs fois dans le passé pour relier les villes de cette côte, et la dernière fois pour remonter de Prachuap à Bangkok. Et je l’avais pas aimé pour une raison : j'y avais été hyper frigorifiée, climatisation à outrance. 

Il n’y a que des sièges, en 2 ème classe climatisée. Mais quand je vois qu’il met seulement 4 hres 30 pour rejoindre Surat Thani, il n’y a pas mieux, et il arrive à 16h 20… C’est pas la nuit ! J’arriverai à prendre le bus qui relie la ville, puis un tuk-tuk, et j’arriverai avant la nuit !. Et puis il y a aussi des taxis à la gare des trains qui eux pourraient me déposer direct à mon hôtel, et qui ne sont pas excessifs.

 

Ma décision est prise, c’est ce train que je veux prendre, et pas le bus,  et pour la clim, je me couvrirai comme en hiver…

A la gare des trains

Je file en direction de la gare des trains de Prachuap qui si elle est en pleine ville, quand même à une bonne distance de marche, et il est plus de midi... Allez, en plein cagnard. Je commence par prendre la promenade qui suit la mer, il y fait meilleur pour marcher, de l’air, puis après le grand hôtel, j’entre dans les rues. Tourner, puis tourner, aller tout droit… Me voilà à la gare (alors que je crève de faim…).

Ouf, il y a une jeune fille au guichet, je craignais que le guichet soit fermé parce qu’ici, 12h/14h, c’est no man's land, tout est fermé, personne ne marche dans les rues, ça se comprend, sauf moi la folle…

J’ai toutes les indications en main. Is that right ? Oui oui, mes infos sont exactes. You want to buy ? Yes !

Et voilà c’est fait. En plus c’est donné, le train n°43, 380 bahts, vraiment pas cher pour une distance qui est quand même bien conséquente.

J’ai un tout petit ticket de rien du tout, terminé ces grands tickets des chemins de fer qu’on recevait avant, il est minuscule maintenant, il ne faut pas le perdre. Ah oui, on m’a demandé mon passeport mais la photocopie de mon passeport que j’ai toujours sur moi a fait l’affaire, je pense que c’est plutôt pour pouvoir inscrire un nom et le recopier qu’ils le demandent.

Super contente. Il ne me restera qu’à booker mon hôtel à Surat Thani. Je remets ça à demain..

A la recherche d'un restau

Mais j’ai faim !!!! Je crève la faim… et là où je me trouve il n’y a pas de restaurant. Plus de 14 hres, déjà tard pour trouver un restaurant ouvert dans cette ville. 

Sur le chemin de la rue qui part de la gare j’achète ces petits gâteaux thaïs que j’aime beaucoup qui sont fourrés de "beans", haricots de quoi ? Cette dame âgée, qui les vend, je la reconnais, je les lui avais acheté l’autre année car il n’y a que là que je les avais vus. Le prix !!! 5 bahts le petit, 10 bahts le grand, bref j’en ai eu pour 20 bahts…

Pour trouver un restau je prends la grande rue qui monte, mais je dois arpenter pas mal et je ne trouve rien. Je demande à deux jeunes qui s’étaient arrêtés là, parce que, c'est aussi qu'il n’y a personne dans la rue à cette heure là, aussi chaude.

J’essaye d’expliquer avec mes mots thaïs et mes gestes que j’ai faim… ils me disent "kai"? Oui oui… Je n’ai jamais mangé autant de poulet que depuis que je suis ici, moi qui n’en mangeais plus en France depuis… Ils me disent de remonter encore plus la rue.

En effet je tombe sur un étalage d'énormes morceaux de poulet, plats, mais énormes. Je ne peux pas manger du poulet comme ça, moi, trop gros, trop aspect viande ! Et je demande « fried rice kai «  ? Oui ils peuvent me faire ça. 

Il y a des tables à l’intérieur, c’est un restaurant. Combien ? 50 bahts. Tu veux un œuf ? Oui je veux un œuf dessus. (J’ai besoin de forces, je ne mange que le midi)… Tout cet échange en mélange mots de thaï et de mots d’anglais…

Ouf, à table ! Il n’y a qu’une femme thaïe, seule, à une table, et qui mange son repas.

Mon plat arrive rapidement. Il n’y a pas l’œuf… Je demande l’œuf. Je vois qu’ils me le font cuire sur l’instant juste à ma demande. Je mange goulûment, tellement goulûment que je ne peux dire si mon plat était meilleur ou égal aux autres que j’ai mangés. Et je commence pourtant à en avoir un peu marre du fried rice, je ne mange que ça depuis que je suis en Thaïlande, parce que, au moins je sais, que ce sera pas gras, que je sais à quoi m’attendre, et que ça c’est bon dans tous les restaurants.

Le  gars me demande si je veux de l’eau. Il s’agit en fait du verre d’eau que l’on vous propose avec plein de glaçons, et une paille, gratuit. Maintenant moi je la bois, j’ai confiance dans le sérieux des Thaïs en ce qui concerne l’eau. Il y a en Thaïlande ce qu’on appelle la drinkable water, qui est souvent prise à des machines qui filtrent l’eau. Ce n’est pas de l’eau minérale en bouteille, mais j’ai confiance, je n’ai jamais été malade en la buvant.

Quand j’ai payé, ça à été 70 bahts. Je croyais que c’était 50, mais j’ai pensé que c’était ma demande d'un œuf sur le plat qui avait du augmenter le prix. Oui je pense toujours en bahts et pas en euros, parce que les sommes sont tellement dérisoires.

J’étais pas loin du Musée de Prachuap, que j’avais voulu visiter la dernière fois, mais qui n’était pas ouvert. Je passe du temps à Prachuap, j’aimerais bien en savoir plus sur cette ville et son histoire. Là il me paraît ouvert, mais, je ne trouve pas l’entrée et le bâtiment est complètement vide. Il n'y a personne pour me renseigner.

Aller à l'Office de tourisme

La belle maison rouge, juste pas loin. L’autre année, toujours fermé quand j’y allais ! 

Et là, miracle, c’est ouvert.

Sawadee ka… j’ai plein de questions à vous poser…

Aille, la fille bredouille en anglais.

Notre grand dialogue commence, téléphone en main, au secours Google trad…

Je suis révoltée que dans cet office de tourisme qui se trouve au bout de la jetée, c’est à dire bien visible pour les voyageurs, on n’y parle pas anglais.

Je n’arrive pas à voir beaucoup de réponses. Je lui explique que je sais qu’il y a un autre office de tourisme à Prachuap, j’y étais allée, mais je ne me souviens plus où il est exactement, un peu plus haut en suivant la rue qui longe la mer en direction du temple. La fille me sort une carte et me l’indique dessus. Ah ça les cartes ils ne sont pas avares pour en donner, j’en ai reçu je ne sais combien de Prachuap. Et elle est très belle la carte papier de Prachuap d’ailleurs..

Direction l’autre Office de tourisme. Je dépasse le bloc des WC municipaux (que j’avais utilisés l’autre année en revenant d’une balade, je me souviens, c’est payant, surveillé par une femme, et clean). Je demande en thaï sur le chemin où se trouve l'Office de tourisme. Les gens n’ont pas l’air de connaître. J'ai montré à certains l’endroit sur la carte papier que la fille m’avait entouré. Oui c’est bien écrit sur la carte Office de tourisme… Monsieur demande à un autre monsieur, montrant la carte… Je trouve. C’est un grand bâtiment moderne et très laid.

Et c'est écrit !

Alors là la fille qui m’accueille parle anglais. Pas un anglais merveilleux mais avec l’aide de Google on s’en sort.

Là j’ai eu des réponses à mes questions. 

Je passe sur toutes les questions très chiantes pour vous que j’ai posées, mais au moins je peux vous dire que pour la nouvelle année, le 31 décembre il y aura un feu d’artifice depuis la jetée, et le count-down. J’adore ce mot anglo-saxon, que nous nous n’employons jamais en français…

Et il y aura les rues décorées, illuminées. Pas de show, pas de musique d’après les réponses qu’on m'a données.

Pour Noël il n’y a rien. Noël n’est pas une fête en Thaïlande. Oh comme je suis contente c’est précisément ce que je suis venue chercher, pas de Noël ! Il y a bien des arbres de Noël dans les hôtels, mais c’est pour les touristes. Et les chapeaux de père Noël c’est pour le commercial.

Je demande aussi les horaires des marées. Ah elle ne s’attendait pas à celle là de question !

En oui, hier je suis allée à Ao Manao avec la mer toute haute qui recouvrait la plage…

Eh bien j’ai fini par savoir que la pleine mer était à midi 17, et la mer basse à 2h03 am… Ce qui fait que la mer monte en journée et est très violente, et ça commence à être mieux quand elle commence à descendre vers 16 hres l’après midi. Donc, pour moi qui dois partir à pied sous le cagnard à Ao Manao, je ne peux pas partir à 16 hres car la nuit tomberait trop vite pour revenir. Et on m’a dit que les heures des marées ne changeront que dans une/deux semaines, logique.

Je passe sur le "you travelling alone ?".  Ben oui, et je leur donne mon âge, travelling alone in Thaïland, yes…

La fille ne me croit pas, je lui demande si elle veut voir mon passeport, oui…  je ne sais pas ce qui s’est dit en thaï entre elle et les autres qui se trouvaient là, dans le bureau, mais un gars a saisi son gros reflex, et tente de me prendre en photo. Alors là j’ai fait signe que non, pas envie de me retrouver en photo sur un dépliant touristique !

J’en ai appris que ces deux offices de tourisme qui se trouvent à Prachuap, deux oui pour cette petite ville, et pas très efficaces. Un en plein centre qui est nul, et un deuxième que personne ne connaît. C’est que le premier est géré par la municipalité de Prachuap, et le 2 ème, le grand où je suis actuellement, est géré par la "province"  de Prachuap Khiri Khan.. Allez au deuxième, il est quand même mieux que le premier.

Je repars le long de la mer

Vue sur le Wat Thammikaram 

Le Wat Thammikaram 2 se trouve perché en haut de la petite colline qui surplombe Prachuap de ses 94 m, le Chong Krajok. Un escalier mène au temple. 396 marches à gravir. De là haut on a une vue sur les trois baies de Prachuap. Je n'y suis jamais montée parce que...

Le temple est protégé par une armée de singes tout le long de l’escalier. Je n’ai jamais voulu y aller, j’ai trop peur des singes. On les dit assez hostiles. Déjà qu’il faut affronter la horde des chiens ,qui eux, sont rassemblés au pied de la colline…  

Oui, j'ai zoomé à mort...

Des stands de nourriture sont installés là, et beaucoup de jeunes qui manifestement sortent de l’école en achètent. 

Je regarde, il y a comme des rouleaux de printemps... Je demande ce que c'est, la fille me montre un paquet de feuilles de riz, elle me dit « Vietnam ». Je finis par m’acheter un espèce de mini spring roll, avec des légumes dedans, 10 bahts. Je goûterai…

L’entrée de la jetée que je connais bien.

Depuis que je vais à Prachuap, je cherche ce que représente ce monument, placé en plein centre et face à la jetée.  Il représente un moine en position assise. Il se tourne vers la droite et regarde vers le haut ou sur le côté. De la main gauche, il tient un bol. Sa main droite est légèrement à l'intérieur du bol et le recouvre.

Je crois avoir enfin trouvé. Il s'agit de la représentation de Phra Upakhut, que l'on surnomme "le Protecteur". Upakhut signifiant "Protecteur". Il est le protecteur contre le mal et le symbole de la pureté. C’est la raison pour laquelle de nombreuses personnes viennent adorer ce moine. Il est parfois assis dans un étang, signe de pureté, ou sur une fleur de lotus.

Phra Upakhut, le Protecteur Phra Upagupta (พระอุปคุต) ou Phra Buakhem (พระบัวเข็ม) était l'un des moines importants sous le règne du roi Asoka le Grand. D'autres sources mentionnent que Phra Upakhut était un moine de l'ancienne ville de Patna en Inde du Sud et qu'il vécut après le Bouddha sous le règne de l'empereur Ashoka (268-232 avant JC). C'était un arhat loué par le Bouddha pour ses pouvoirs magiques. (Dans le bouddhisme theravâda, "arhat" ou "arhant" est le nom donné à celui qui a atteint le dernier échelon de la sagesse et de l'éveil). Après s'être converti au bouddhisme, l'empereur Ashoka a commencé à construire d'innombrables stupas et temples pour abriter les reliques du Bouddha. Le diable a menacé d'intervenir. Ashoka a demandé à Phra Upakut de vaincre le diable jusqu'à ce qu'il se rende. Après cela, Phra Upakut est devenu célèbre pour sa capacité à vaincre Mara. Il est également connu sous le nom de "Phra Buakhem". Cela lui valut sa réputation de protecteur. On raconte que c'était vers la fin du IIe siècle après JC, après le décès du Bouddha à Nakhon Pataliputra Ratchathani (actuellement la ville de Patna). Le moine avait atteint un état de médiation plus élevé que tout autre moine : l’illumination et la liberté de faire face à la souffrance. Avant d'entrer dans le Nirvana, le Bouddha demanda à Phra Upakhut de rester en vie jusqu'à l'arrivée du Maitreya, le futur Bouddha. Bouddha lui a demandé de protéger la religion bouddhiste et les enseignements du Dhamma. Les bouddhistes Theravada croient que le moine est vivant et toujours parmi nous. Parmi les Thai Yuan, il existe encore actuellement une croyance selon laquelle Phra Buakhem ou Phra Upakut est toujours en vie tous les 15 jours de la lune croissante qui tombe mercredi. Les Thai Yuan sont ce groupe ethnique originaire de neuf provinces du nord de la Thaïlande principalement dans la région de l'ancien royaume de Lan Na. (Il existe environ 6 millions de Tai Yuan, la plupart d'entre eux vivent dans le nord de la Thaïlande, et une petite minorité vivant de l'autre côté de la frontière, dans la province de Bokeo au Laos).  Les Thai Yuan l'appellent "Wan Peng Pud". Phra Upakut ferait l'aumône dans le corps d'un jeune novice et sortirait à minuit. C’est pour cette raison qu’est née la tradition de faire l’aumône aux moines la nuit. Pour l'adorer il faut apporter une un bol de riz, un verre d'eau, et les placer en face du bouddha sur l'étagère ou sur les côtés, et allumer des bâtons d'encens et une paire de bougies. Phra Upakut est une image de Bouddha populaire et vénérée par les Indiens, les Mon, les Thai Yuan et les Isan. Dans de nombreux temples, au nord de la Thaïlande, vous verrez une statue de Phra Upakhut, alias Phra Buakhem. Au Wat Rong Suea Ten, le Temple Bleu, à Chiang Rai, il est assis près d'une fontaine. J'ai trouvé grâce au site en anglais : https://www.chiangmai-alacarte.com/blog/phra-upakhut-the-protector/

La belle plage de Prachuap, à marée basse, impropre… ah si elle pouvait être propice à la baignade…

Je suis passée au Lotus supermarché, j’ai acheté un pack de 3 bières, 160 bahts je crois.

Sur la terrasse de mon hôtel

Je suis rentrée, et je suis descendue et me suis installée sur la terrasse. Il y fait bon en fin d'aprem. J’ai commencé à uploader mes photos avec mon téléphone. Mais que vois-je arriver, une bande de mecs qui parlent fort, avec de la bouffe, de la boisson avec eux, un isopo, et je crois bien que ce sont des Chinois, je n’entends pas de sonorités de la langue thaïe dans ce qu’ils se disent. L’horreur ! Mais qu’est ce qu’ils viennent faire à l’hôtel ! Pourvu qu’ils ne logent pas à l’hôtel !

J’ai changé de table, j’étais à la table juste à côté d’eux. Un couple ensuite est venu s’asseoir à la table que j’avais laissée vacante. A un moment, lui me propose de ses cacahuètes qu’ils mangeaient en buvant de la bière. Je les refusé parce que je n’en avais pas du tout envie, mais la conversation s’est enchaînée. 

Ils sont américains, de San Francisco. Ils se nomment Jennifer et Laurie (Laurence), et sont arrivés à l’hôtel aujourd’hui. Ce sont de vrais voyageurs, ils connaissent bien la Thaïlande pour y être venus bien des fois, et n’avaient jamais parcouru cette partie de côte ci. Ils ont en commun avec moi le fait qu’ils ne conduisent pas de moto. Ah ça fait du bien de rencontrer des alter-égaux… 

On a causé jusqu’à 19 h.  Très sympa. 

C’est vrai que les Américains ont le contact facile, alors que les Français… aille aille aille.

J’étais très contente à passer ce bout de soirée sympa avec eux.

Mon dîner dans ma chambre

Voilà mon dîner, le fameux spring roll… Je me suis régalée. La sauce qui l’accompagnait, eh bien c’était très très pimenté. Mais je l’ai mangée jusqu’au bout, je l’ai même terminée avec des chips.