J'ai fait trois visites au cours de ce voyage que je n'avais pas faites auparavant lors de tous mes voyages en Thaïlande, qui ont valu le coup que je fasse ce énième voyage en Thaïlande. Cherchez attentivement dans mon blog, et vous le découvrirez.
Je n'ai pas eu assez d'émerveillements. J'ai été un peu trop longtemps seule. Mais j'etais mieux là qu'à supporter le froid à Paris. Je suis revenue en grande forme physique et morale, et heureuse d'être à nouveau chez moi. Maintenant, deux mois de voyage, je crois que c'est trop long pour moi.
Les îles où j'ai sejouné
Je suis allée à Koh Lanta. Long Beach était une tres belle plage, trop envahie par les Suédois, trop envahie par les méduses, là je n'ai pas eu de chance, mais il paraît que ce n'est pas exceptionnel qu'il y ait des méduses.
Je suis retournée à Koh Phan Gan. Je re-confirme que c'est une très jolie île. Où la variété des plages est intéressante. Mais sans moto, dans mon cas, on rate beaucoup d'endroits. Attention cependant c'est une île dangereuse pour la moto. Combien j'en ai vus des éclopés de la moto, rien que en quelques jours de séjour !
Koh Tao, je n'y étais pas encore allée. J'ai été contente de la connaître. C'est une très belle île, avec une côte Est toute rocheuse donc à éliminer, bien qu'il y ait des resorts... pour qui aime l'isolement.
Le choix de Chalok Baan Bay était bon. Belle crique, belle plage de sable, belle mer, bien bleue, mais pas de profondeur d'eau parfois. C'est courant dans cette région d'îles.
Je ne suis pas certaine que j'aurai envie de retourner à Koh Tao alors que je pourrais retourner à Koh Phan Gan, à cause de sa diversité.
Voyage en solo
Je n'ai trouvé personne pour partager ce voyage dans toute sa première partie. Alors même si j'ai rencontré quelques voyageurs, ou voyageuses, comme cela nous arrive à tous en cours de voyage, souvent très jeunes en solo aussi (je n'ai rencontré qu'une seule voyageuse de ma génération, elle était Canadienne anglaise voyageant seule), j'ai passé beaucoup, beaucoup de temps seule, et je me suis pas mal... emmerdée !
Dîner seule, j'en ai pris le rythme, l'habitude, mais je n'aime pas ! J'essaye de manger le plus rapidement possible, pour m'en aller vite, vite de cette situation pas agréable.
Je n'ai pas rencontré de gens parce que non plus, je n'avais pas d'excursions à faire vu que j'avais déjà tout vu, tout visité.
Un wifi très mauvais
Vous savez que mon blog est l'un de mes passe-temps favoris, et surtout en live, en cours de voyage.
Mais le wifi, je ne l'ai pas eu souvent de façon correcte. A part à Bangkok, et à Krabi Town, où je l'avais dans ma chambre. Et encore il a été meilleur à Krabi qu'à Bangkok!
Par la suite, là où j'ai logé, dans la nature ou beaucoup dans les îles, je n'ai eu le wifi que dans les parties communes, restaurant, près de la réception, et très lent, et il cassait sans arrêt.
Donc je ne pouvais même pas m'occuper à alimenter mon blog, encore moins uploader des photos, cela prenait un de ces temps d'envoyer des photos sur mon blog, vous ne pouvez pas imaginer ! Et perdre le travail que j'avais fait et que j'étais en train de publier, à cause d'un wifi qui lâchait à ce moment là, ça, j'ai trop connu !
Une chaleur trop forte
C'est la première fois que je suis partie en Thaïlande aussi tardivement, de fin janvier à mi mars. D'habitude je rentrais mi février.
Autant l'hiver dernier ai-je vécu une météo anormalement froide, une vague de froid étant descendue jusqu'au sud de la Thaïlande et dans les îles les plus au sud, et où j'ai même dû acheter des vêtements supplémentaires parce que je n'en avais pas assez pour le froid... autant cet hiver-ci a été très, très chaud.
J'ai souffert de la chaleur, oui moi qui, ceux qui me connaissent le savent bien, adore la chaleur et la supporte très bien, bien mieux que le froid.
J'ai eu pas mal de chambres avec seulement le ventilateur et pas d'air conditionné. Sans doute l'air con m'aurait reposé, fait récupérer, mais c'était question de budget. Il m'est arrivé de constater à mon thermomètre que j'avais 31 ° dans ma chambre avec un ventilo que j'avais laissé fonctionner toute la journée.
Le soucis du visa
J'ai décidé de mon voyage en Thaïlande sur les chapeaux de roue. Plus que marre de l'hiver, j'avais tenu jusqu'à fin décembre cette fois-ci. J'ai acheté mon billet le 30 décembre. Je ne n'avais aucune idée ce que j'allais faire en Asie, j'utilise Bangkok comme plaque tournante. Je ne voulais pas prendre un visa touriste de deux mois, car cela me prive de ma liberté sur place, si je sors j'en perds l'avantage. Et d'autant plus que l'ambassade à Paris était fermée jusqu'au 6 Janvier pour raison de.... vacances de Noël.
J'ai choisi un vol aller-retour dans une période de 58 jours de séjour. Il me faut donc faire de toute façon quelque chose au bout des 30 jours autorisés à l'arrivée en Thaïlande. J'avais choisi un peu moins de 60 jours, volontairement, ce qui me donne un battement élastique de deux jours.
L'an dernier je suis passée au Cambodge et j'ai du demander un visa touriste de 2 mois, pour re-rentrer en Thaïlande, alors que je n'avais pas besoin de 2 mois. Dans les 40 dollars de mémoire, via une agence. Cela m'a pris une semaine, même que j'avais choisi un visa express.
J'arrive donc à Bangkok avec juste le tampon "on arrival" qui m'autorise à rester 30 jours. Seulement, j'avais lu sur l'internet avant de partir, qu'une nouvelle mesure existait depuis août 2014. On pouvait demander une extension de 30 jours supplémentaires à ce "visa on arrival" en se rendant dans un bureau d'immigration en Thaïlande, et en payant 1900 bahts. Cela existait bien auparavant, mais on pouvait juste gagner 7 jours. Désormais, on pourrait prolonger son séjour de 30 jours sans avoir de visa touristique préalable, mais juste le tampon à l'arrivée à l'aéroport.
Habituée aux infos qui circulent en France, et qui ne sont pas appliquées une fois qu'on est en Thaïlande, cela nécessitait une vérification sur place. Et a entraîné une grosse angoisse chez moi : ça marchera ou ça ne marchera pas ? Si ça ne marche pas, je suis obligée de passer illico en Malaisie
J'ai donc décidé de faire cette opération à Krabi, que je connaissais très bien, et où il y a un bureau d'immigration où je m'étais déjà rendue autrefois pour infos, et où l'accueil avait été sympathique.
C'est qu'on ne peut pas faire ce prolongement à n'importe quelle date, en arrivant à Bangkok par exemple, parce que c'est la date où l'on demande l'extension qui est prise en compte.
Toujours aussi simple de voyager en liberté en Thailande !!!!
Je me suis donc dirigée trés vite vers Krabi, en avion pour faire simple, et parce que Krabi c'est aussi l'accès à bon nombre d'îles. J'avais décidé de rester et de silloner dans cette région là jusqu'à la date fatidique des 30 jours.
Krabi - Je cherche les cordonnées de l'Immigration Office car j'ai appris en arrivant qu'au lieu d'être accessible à pied comme avant, en plein centre ville, il avait migré à... 5 km.... près de la pier vers Koh Lanta et Koh Phi Phi, à petpète, dans un lieu désert.
J'appelle la TAT (Office de Tourisme) de Krabi. Le premier n° qu'on me donne... erreur... c'est un fax ! Donc je rappelle la Tat. Ils ne peuvent même pas me donner une adresse, mais juste "c'est à côté de la pier pour Phi Phi".
Je téléphone, et là enfin j'arrive à joindre un monsieur aimable, parlant anglais, qui me confirme mes infos d'extension de visa possible... on l'obtient.... dans l'heure !
Il ne me reste plus qu'à faire quelques photocopies supplémentaires, la page du tampon d'arrivée en Thaïlande... et d'y aller entre le 16 et le 18.. en moto taxi...
Cela revient moins cher de payer 1900 bahts que de passer dans un pays limitrophe ! Payer le transfert, la demande de visa, ou un billet d'avion pour récupérer 30 jours.
Et je l'ai réussi mon extension de séjour !
En 5 minutes, j'ai obtenu à l'Immigration Office de Krabi, le papier, et le tampon sur mon passeport qui me permet de rester 30 jours de plus. Ça a été d'une facilité ! Bon, j'avais toutes les photocopies demandées, et la photo.
Le plus difficile a été de m'y rendre (moto taxi) car c'est excentré et isolé. J'ai du négocier ferme le prix du moto taxi. Mais j'ai réussi.
Je rappelle que je n'avais aucun visa pris en France, juste le tampon que l'on vous appose en arrivant a l'aéroport de Bangkok. Et ça coute 1900 bahts.
Pourvu que ça dure.
J'ai choisi un vol aller-retour dans une période de 58 jours de séjour. Il me faut donc faire de toute façon quelque chose au bout des 30 jours autorisés à l'arrivée en Thaïlande. J'avais choisi un peu moins de 60 jours, volontairement, ce qui me donne un battement élastique de deux jours.
L'an dernier je suis passée au Cambodge et j'ai du demander un visa touriste de 2 mois, pour re-rentrer en Thaïlande, alors que je n'avais pas besoin de 2 mois. Dans les 40 dollars de mémoire, via une agence. Cela m'a pris une semaine, même que j'avais choisi un visa express.
J'arrive donc à Bangkok avec juste le tampon "on arrival" qui m'autorise à rester 30 jours. Seulement, j'avais lu sur l'internet avant de partir, qu'une nouvelle mesure existait depuis août 2014. On pouvait demander une extension de 30 jours supplémentaires à ce "visa on arrival" en se rendant dans un bureau d'immigration en Thaïlande, et en payant 1900 bahts. Cela existait bien auparavant, mais on pouvait juste gagner 7 jours. Désormais, on pourrait prolonger son séjour de 30 jours sans avoir de visa touristique préalable, mais juste le tampon à l'arrivée à l'aéroport.
Habituée aux infos qui circulent en France, et qui ne sont pas appliquées une fois qu'on est en Thaïlande, cela nécessitait une vérification sur place. Et a entraîné une grosse angoisse chez moi : ça marchera ou ça ne marchera pas ? Si ça ne marche pas, je suis obligée de passer illico en Malaisie
J'ai donc décidé de faire cette opération à Krabi, que je connaissais très bien, et où il y a un bureau d'immigration où je m'étais déjà rendue autrefois pour infos, et où l'accueil avait été sympathique.
C'est qu'on ne peut pas faire ce prolongement à n'importe quelle date, en arrivant à Bangkok par exemple, parce que c'est la date où l'on demande l'extension qui est prise en compte.
Toujours aussi simple de voyager en liberté en Thailande !!!!
Je me suis donc dirigée trés vite vers Krabi, en avion pour faire simple, et parce que Krabi c'est aussi l'accès à bon nombre d'îles. J'avais décidé de rester et de silloner dans cette région là jusqu'à la date fatidique des 30 jours.
Krabi - Je cherche les cordonnées de l'Immigration Office car j'ai appris en arrivant qu'au lieu d'être accessible à pied comme avant, en plein centre ville, il avait migré à... 5 km.... près de la pier vers Koh Lanta et Koh Phi Phi, à petpète, dans un lieu désert.
J'appelle la TAT (Office de Tourisme) de Krabi. Le premier n° qu'on me donne... erreur... c'est un fax ! Donc je rappelle la Tat. Ils ne peuvent même pas me donner une adresse, mais juste "c'est à côté de la pier pour Phi Phi".
Je téléphone, et là enfin j'arrive à joindre un monsieur aimable, parlant anglais, qui me confirme mes infos d'extension de visa possible... on l'obtient.... dans l'heure !
Il ne me reste plus qu'à faire quelques photocopies supplémentaires, la page du tampon d'arrivée en Thaïlande... et d'y aller entre le 16 et le 18.. en moto taxi...
Cela revient moins cher de payer 1900 bahts que de passer dans un pays limitrophe ! Payer le transfert, la demande de visa, ou un billet d'avion pour récupérer 30 jours.
Et je l'ai réussi mon extension de séjour !
En 5 minutes, j'ai obtenu à l'Immigration Office de Krabi, le papier, et le tampon sur mon passeport qui me permet de rester 30 jours de plus. Ça a été d'une facilité ! Bon, j'avais toutes les photocopies demandées, et la photo.
Le plus difficile a été de m'y rendre (moto taxi) car c'est excentré et isolé. J'ai du négocier ferme le prix du moto taxi. Mais j'ai réussi.
Je rappelle que je n'avais aucun visa pris en France, juste le tampon que l'on vous appose en arrivant a l'aéroport de Bangkok. Et ça coute 1900 bahts.
Pourvu que ça dure.
Le soucis de la baisse de l'euro
Ce voyage à été celui qui m'a coûté très cher.
A chaque fois que je changeais des euros, l'euro avait descendu d'un point.
A chaque fois que je changeais des euros, l'euro avait descendu d'un point.
- 35,30 bahts à l'aéroport
- 37,30 bahts à Bangkok - 36,25 bahts à Bangkok |
- 36,77 bahts à Krabi
- 34,78 bahts à Phan Gan - 34,10 à Bangkok |
Pour rappel, l'euro était à 44 bahts quand j'ai quitté la Thaïlande en février 2014.
On a tous été touché, nous les voyageurs en cours de voyage.
La plage
Mon amie Domy est venue me rejoindre sur les trois dernières semaines. Son but : la plage. Moi j'aime la plage, nager etc, mais là, ça a été un peu la sur-dose. Je savais bien que Domy venait pour la plage. Je ne regrette pas, j'ai beaucoup aimé connaître ces lieux où je n'étais pas allée. Mais il me manquait un peu d'autres occupations que bronzer, nager, dîner, dormir. Et puis j'avais tellement pris de soleil... sans le vouloir... que je ne le supportais plus le soleil. Je me mettais à l'ombre tout le temps sur la plage, et malgré cela, je bronzais encore et encore, rien qu'en marchant, en étant sur un bateau, ou en nageant.
Il y a trop de monde !
D'accord j'étais dans la partie très touristique de la Thaïlande, sans doute la partie la plus touristique. Mais ce monde de touristes, je n'en pouvais plus.
Je ne me sentais plus en Thaïlande, j'etais au milieu des Suédois, des Allemands (surtout de Berlin), des Hollandais, beaucoup de jeunes Espagnols aussi, venus faire la fête, des "Européens" avec qui je n'avais aucun point commun et pas du tout d'affinités.
De plus en plus de familles "nombreuses", beaucoup de jeunes enfants, et des parents qui ne les contrôlent pas.
Ces gens sont trop bruyants, vivent comme s'il n'avaient pas de voisins, et j'ai besoin de calme, je ne supportais vraiment pas ce bruit.
Par contre, j'ai été surprise de croiser beaucoup moins de Russes que l'hiver dernier. Je n'étais pas non plus dans la même région de la Thaïlande. La partie entre Pattaya et Koh Chang (la grande), et tout le golfe de Thaïlande était l'hiver dernier envahi par les Russes. Côté mer d'Andaman, où j'étais cette fois-ci, ce sont les Nordiques qui envahissent.
Les Russes que j'ai rencontrés cette année étaient bien différents, plus jeunes, et très routards.
A la population touristique russe, s'est substituée une population d'Européens de l'Est, venant de toutes ces petites républiques récemment recréées, dont je n'arrive jamais à me souvenir des noms. En plus des Polonais, et des Tchèques, j'ai fait connaissance de gens de l'Est dont je n'aurais jamais dans ma vie croisé le chemin.
Je me suis sentie revivre... dans les villes ! Là où je retrouvais les Thaïs, non liés au tourisme.
Une immigration massive de Birmans
Quelle a été ma surprise de découvrir que de nombreuses guesthouses où j'ai séjourné étaient gérées par des Birmans ou avaient du personnel birman, de même que dans les restaurants ou les boutiques. J'ai noté cela beaucoup à Koh Phan Gan, et dans les boutiques à ao Nang et à Bangkok.
La Thaïlande n'est plus le pays du sourire
Je ne suis pas la seule à l'avoir dit, lors de mes rencontres avec d'autres voyageurs. Je ne dis pas que tous les Thaïs ne sont plus sympa, accueillants, mais j'ai trouvé que cela avait beaucoup changé.
Quant aux Thaïs qui ont affaire au touristes, agences... personnel complètement incompétent, ce ne sont que des vendeurs. Quant aux chauffeurs de minivans, ils ont tous sans exception été très désagréables, les managers des resorts, du bon et de l'affreux.
Un seul mot règne en Thaïlande désormais... l'argent des touristes.
Je ne suis pas du tout sûre que je retournerai encore en Thailande une fois prochaine. J'en ai eu vraiment marre cette fois-ci.
La plage
Mon amie Domy est venue me rejoindre sur les trois dernières semaines. Son but : la plage. Moi j'aime la plage, nager etc, mais là, ça a été un peu la sur-dose. Je savais bien que Domy venait pour la plage. Je ne regrette pas, j'ai beaucoup aimé connaître ces lieux où je n'étais pas allée. Mais il me manquait un peu d'autres occupations que bronzer, nager, dîner, dormir. Et puis j'avais tellement pris de soleil... sans le vouloir... que je ne le supportais plus le soleil. Je me mettais à l'ombre tout le temps sur la plage, et malgré cela, je bronzais encore et encore, rien qu'en marchant, en étant sur un bateau, ou en nageant.
Il y a trop de monde !
D'accord j'étais dans la partie très touristique de la Thaïlande, sans doute la partie la plus touristique. Mais ce monde de touristes, je n'en pouvais plus.
Je ne me sentais plus en Thaïlande, j'etais au milieu des Suédois, des Allemands (surtout de Berlin), des Hollandais, beaucoup de jeunes Espagnols aussi, venus faire la fête, des "Européens" avec qui je n'avais aucun point commun et pas du tout d'affinités.
De plus en plus de familles "nombreuses", beaucoup de jeunes enfants, et des parents qui ne les contrôlent pas.
Ces gens sont trop bruyants, vivent comme s'il n'avaient pas de voisins, et j'ai besoin de calme, je ne supportais vraiment pas ce bruit.
Par contre, j'ai été surprise de croiser beaucoup moins de Russes que l'hiver dernier. Je n'étais pas non plus dans la même région de la Thaïlande. La partie entre Pattaya et Koh Chang (la grande), et tout le golfe de Thaïlande était l'hiver dernier envahi par les Russes. Côté mer d'Andaman, où j'étais cette fois-ci, ce sont les Nordiques qui envahissent.
Les Russes que j'ai rencontrés cette année étaient bien différents, plus jeunes, et très routards.
A la population touristique russe, s'est substituée une population d'Européens de l'Est, venant de toutes ces petites républiques récemment recréées, dont je n'arrive jamais à me souvenir des noms. En plus des Polonais, et des Tchèques, j'ai fait connaissance de gens de l'Est dont je n'aurais jamais dans ma vie croisé le chemin.
Je me suis sentie revivre... dans les villes ! Là où je retrouvais les Thaïs, non liés au tourisme.
Une immigration massive de Birmans
Quelle a été ma surprise de découvrir que de nombreuses guesthouses où j'ai séjourné étaient gérées par des Birmans ou avaient du personnel birman, de même que dans les restaurants ou les boutiques. J'ai noté cela beaucoup à Koh Phan Gan, et dans les boutiques à ao Nang et à Bangkok.
La Thaïlande n'est plus le pays du sourire
Je ne suis pas la seule à l'avoir dit, lors de mes rencontres avec d'autres voyageurs. Je ne dis pas que tous les Thaïs ne sont plus sympa, accueillants, mais j'ai trouvé que cela avait beaucoup changé.
Quant aux Thaïs qui ont affaire au touristes, agences... personnel complètement incompétent, ce ne sont que des vendeurs. Quant aux chauffeurs de minivans, ils ont tous sans exception été très désagréables, les managers des resorts, du bon et de l'affreux.
Un seul mot règne en Thaïlande désormais... l'argent des touristes.
Je ne suis pas du tout sûre que je retournerai encore en Thailande une fois prochaine. J'en ai eu vraiment marre cette fois-ci.