J'aime
- Les gens
- La richesse culturelle et historique. Le nombre important de lieux historiques, en bon état, à visiter. Je suis restée des jours et des jours et j'ai toujours une occupation, une nouvelle découverte.
- Les événements culturels proposés presque tous les week end, qui rassemblent les habitants de la ville et les visiteurs.
- Le modernisme
- Il n y a pas un mendiant en ville, ou un ou deux peut etre que j'ai vus, il y en a devant les entrées des temples hindouistes.
- Il n'y a pas de "tuk tuk Madam" tout le long de monchemin, il n'y a personne qui essaye de me vendre des trucs dans la rue. On me laisse tranquille. C'est une ville normale George Town. J'y vis comme je vis à Paris, presque. Sous un climat tropical...
- Il n'y a pas de moustiques, en tout cas à George Town.
- Il n'y a pas des tas d'ordures accumulées comme j'en ai vu dans les pays voisins. La benne à ordures, je l'ai vue passer en soirée.
- L'absence de touristes occidentaux. Peu. Ceux que j'ai rencontrés étaient des gens très intéressants, voyageurs, curieux, ouverts. Beaucoup de touristes... malaisiens, et jeunes souvent. Pas de Suédois, pas de Russes. Pas de gens venus pour se saouler la gueule.
- Le fait que tout le monde parle anglais. Ici, les gens parlent entre eux malais, ou chinois et encore différents dialectes, ou tamoul. Mais tout le monde apprend l'anglais à l'école. Grande différence avec la Thaïlande.
- Le niveau d'instruction des gens, très élevé. Ici on peut discuter, d'autre chose que "where are you from".
- Le jour qui se couche tard, à plus de 19h30. A 20h00 les lumières s'allument tout juste et le ciel est encore clair.
J'aime pas
- La bouffe en Malaisie... tous les Français que j'ai rencontrés ont été d'accord avec moi. C'est que c'est mal cuisiné, et pourtant à partir des mêmes ingrédients que la cuisine thaïe, en fait, noodles et fried rice. Le poulet, ils ne le découpent pas en tout petits morceaux, ils le coupent en morceaux d'os. (ça s'appelle chopped chicken ici, mais chopped en Thaïlande ce n'est pas avec des os...). La cuisine thaïe, elle est fine. La cuisine en Malaisie, elle est grossière (j'ai fui les restaurants ou gargotes chinoises, rien à voir avec la cuisine dite chinoise qu'on mange en Birmanie ou en Thaïlande, ici... c'est dégueulasse).
- La bière, trop chère (+ de 7 MR, soit 1,8 euro), inexistante dans les restaus musulmans et les restaus indiens. Leurs marques : Carlsberg, Skoll, il n'y a que la Tiger qui est buvable mais c'est l'une des plus chères,. J'ai quand même trouvé de la Chang à 4 MR dans une unique épicerie chinoise de la Chulia street. J'y faisais mes ravitaillements. (frigo dans la chambre). J'ai payé une petite Tiger dans un restaurant (un peu plus haut de gamme)... 15 RM (3,80 euros) ! D'accord, la bière dans les cafés en France ... mais comparé avec les autres pays d'Asie voisins, c'est cher ici.
- Le trafic, et l'absence de trottoirs, enfin, des trottoirs où personne ne marche car ils sont impraticables, les motos s'y garent,des paquets y sont entreposés devant les maisons, et bouchent le chemin, et en plus des marches sans cesse, hautes à gravir ... donc tout le monde marche sur la chaussée, à droite des voitures et des motos. Il y a un trafic monstre à George Town, et j'avoue qu'il me fatigue. Souvent, le long de voies rapides, il n'y a pas de trottoir, même pas un espace pour marcher. Parfois il y a un système de passerelles, et il faut s'y habituer. Je marche toujours en me retournant par derrière pour surveiller ce qui arrive, je vais avoir un torticolis... Le rétroviseur, je me demande s'ils le regardent de temps à autre. Et surtout quand il y a une voie à beaucoup de trafic, ça n'arrête pas de passer, pas un ne s'arrête, à un tournant c'est terrible, aucune visibilité... Alors je fais acte d'autorité, je les regarde en plein dans les yeux et je met mon bras en signe de stop et je passe. C'est ... périlleux, je vous l'assure.
- Les plages ne sont pas aussi belles qu'en Thailande, et surtout pas une mer aussi belle que dans les îles de Thailande. A George Town même, pas de plage, mais la mer, et un port.
- Les coût du logement, les tarifs des hôtels, chers, si l'on veut un petit peu de confort. Et la hausse considérable des tarifs (x par 2) quand surgit un week end de fête importante en Malaisie. Je me suis trouvée dans cette situation là.